Peintures
Tableau ou fenêtre ouverte de l’âme ?
Cette section est consacrée aux tableaux de Frédéric Destremau, à l’esthétique éthérée et dense. Ces tableaux en technique mixte – papier, peinture, collage – offrent des paysages mystérieux, des horizons lointains, tantôt légers, lumineux et sereins, tantôt sombres et arides. Il s’agit de paysage « état d’âme » qui rendent les différentes étapes, les nuances qui peuvent en une journer traverser notre esprit.
Un monde à compléter
Ces paysages sont comme des jalons, des témoins. Que chacun se laisse conduire, emporter par ces visions d’un autre monde, questionner, interroger. C’est une charte, une carte, le plan d’un voyage intérieur. Au contemplateur de décider le sens qu’il veut donner à cette quête, de continuer la narration entamée. Les espaces lumineux, les espaces sombres sont des portes ouvertes, des fenêtre vers un absolu, un infini quiue chacun peut sentir, percevoir, accepter ou refuser.
Les tableaux de Frédéric Destremau ont cette qualité, cette ouverture, à la fois, ils vous portent, ils vous accompagnent, mais ne font pas la route à votre place, c’est à vous de décider, c’est à vous d’entrer ou de ne pas entrer. Il y a dans cette œuvre quelque chose des anciens maîtres chinois : évoquer tout en restant en retrait. Il ouvre une voie, mais nous laisse seul décider ce que nous voulons faire, ce que nous voulons être.
Les qualités chromatiques, la qualité matérielle – cette « choséïté » de l’art si précieuse à Heidegger – des œuvres de Frédéric Destremau n’est pas à démontrer ; c’est un art dense, intense, fragile et solide, rustique et raffiné, délicat et juste. Mais au-delà se trouve un monde insondable, pénétrable et impénétrable, palpable et impalpable. Des profondeurs qui vont bien au-delà de ces zones convenues de confort où on se promène habituellement.
La découverte de cet univers ni minéral, ni végétal, ni animal, ni humain, qui portent portant tout cela, donne une impression familière, une impression de déjà vu, c’est que Frédéric Destremau nous fait contempler ce monde intérieur dont nous sommes tous porteur, mais qu’il donne à voir avec prégnance et jutesse.
Cette section est consacrée aux tableaux de Frédéric Destremau, à l’esthétique éthérée et dense. Ces tableaux en technique mixte – papier, peinture, collage – offrent des paysages mystérieux, des horizons lointains, tantôt légers, lumineux et sereins, tantôt sombres et arides. Il s’agit de paysage « état d’âme » qui rendent les différentes étapes, les nuances qui peuvent en une journer traverser notre esprit.
Un monde à compléter
Ces paysages sont comme des jalons, des témoins. Que chacun se laisse conduire, emporter par ces visions d’un autre monde, questionner, interroger. C’est une charte, une carte, le plan d’un voyage intérieur. Au contemplateur de décider le sens qu’il veut donner à cette quête, de continuer la narration entamée. Les espaces lumineux, les espaces sombres sont des portes ouvertes, des fenêtre vers un absolu, un infini quiue chacun peut sentir, percevoir, accepter ou refuser.
Les tableaux de Frédéric Destremau ont cette qualité, cette ouverture, à la fois, ils vous portent, ils vous accompagnent, mais ne font pas la route à votre place, c’est à vous de décider, c’est à vous d’entrer ou de ne pas entrer. Il y a dans cette œuvre quelque chose des anciens maîtres chinois : évoquer tout en restant en retrait. Il ouvre une voie, mais nous laisse seul décider ce que nous voulons faire, ce que nous voulons être.
Les qualités chromatiques, la qualité matérielle – cette « choséïté » de l’art si précieuse à Heidegger – des œuvres de Frédéric Destremau n’est pas à démontrer ; c’est un art dense, intense, fragile et solide, rustique et raffiné, délicat et juste. Mais au-delà se trouve un monde insondable, pénétrable et impénétrable, palpable et impalpable. Des profondeurs qui vont bien au-delà de ces zones convenues de confort où on se promène habituellement.
La découverte de cet univers ni minéral, ni végétal, ni animal, ni humain, qui portent portant tout cela, donne une impression familière, une impression de déjà vu, c’est que Frédéric Destremau nous fait contempler ce monde intérieur dont nous sommes tous porteur, mais qu’il donne à voir avec prégnance et jutesse.